NDLR: revoilà l’Irrévérencieuse, toujours bien décidée à mettre les pieds dans le plat des non-dits et des hypocrisies. Ses opinions n’engagent qu'elle et à charge de ceux qui sont en désaccord de lui répondre. Nos colonnes sont là pour ça.

NDLR, au 23/02/2021 tard le soir : Après la publication de l'article et les commentaires de certains de nos lecteurs, nous nous sommes rendu compte que notre commentaire sur ce texte était somme toute assez léger. Il est donc à prendre avec beaucoup de modération... De notre côté, c'est l'occasion de clarifier ce que l'on veut transmettre avec ce média citoyen et de continuer à chercher au sein de la rédac' des manières de rendre l'expression citoyenne constructive. À suivre...

Il y a principalement trois choses qui nous masquent la réalité de la pandémie :

1. la peur diffusée chaque jour par les autorités dans les médias mainstream

2. l’esprit de solidarité : nous voulons protéger les autres

3. la nécessité de ne pas être mis au ban de la communauté c’est à dire suivre le mouvement général plutôt que d’affronter un désaccord avec la majorité. Ce sont ces trois facteurs qui paralysent notre bon sens élémentaire.  

En effet, je ne vois quasiment pas de morts tomber autour de moi, je suis sûre que les traitements marchent car, si je ne connais pas de mort du Covid, je connais des malades qui se sont fait très bien soigner en quatre jours et qui ont guéri aisément et sans séquelles, je suis persuadée qu’il existe des traitements précoces efficaces, je sais comment stimuler notre immunité.

Comment un virus qui épargne 99,9% de la population parvient-il à nous angoisser et nous rendre dociles à des mesures qui se révèlent sans doute pire que le mal en amputant nos libertés fondamentales ? Comment croire que l’entassement dans le métro ou les gares ou les supermarchés ne transporte pas le virus mais que les théâtres, les restaurants, les cinémas en seraient des lieux de propagation ? Pourquoi le virus deviendrait virulent après 18h00 ou 20h00 et pas plus tôt ou plus tard ?

Il y a une autre raison majeure à cet aveuglement : nous ne savons pas envisager le mal ou la perversité ou l’incompétence de ceux qui décident. Nous ne concevons pas qu’ils puissent travailler contre nous. C’est le même phénomène qui a empêché de réaliser ce qu’étaient les camps de la mort ou le goulag : nous avons du mal à concevoir l’horreur et la malfaisance organisée.

Pourquoi nous voudraient-ils du mal ? 

Si la comparaison est violente, pourtant, pour nous, petites personnes lambda, cela dépasse notre imaginaire. 

Ainsi, le peuple fait la sourde oreille aux lanceurs d’alerte et ne peut pas croire à la destruction intentionnelle de ses soi-disant représentants.

Voilà qui est difficile à admettre.

Alors pourquoi ne renforcent-ils pas l’hôpital au lieu de continuer à l’affaiblir ? Pourquoi ne préconisent-ils pas la prévention ? Pourquoi ne pouvons-nous pas débattre de l’opportunité des mesures prises de façon carrément autoritaire ?

Heureusement, devant tant d’incohérences, d’amendes, de mesures de rétorsion, devant notre culpabilisation perpétuelle, les regards se dessillent. 

Oui, l’industrie pharmaceutique est plus préoccupée de faire de l’argent que de nous soigner. Oui ce lobby envoie sur les plateaux télé des médecins corrompus qu’il achète.

Oui les voix dissidentes sont censurées et maltraitées grâce à la connivence des milliardaires de l’info et de Big Pharma.

La conscience se fait jour petit à petit. Nous devons poursuivre intensément notre travail de réinformation. Nous devons organiser le refus et préserver nos enfants. Osons reconquérir notre bon sens et mettre la peur à distance.

Santé et liberté

L’Irrévérencieuse